Comment devient-on technicien hygiéniste ?
C’est une question à laquelle Jérôme a plaisir à répondre. Il aime parler de son métier. Il suffit de l’écouter (ou de le lire) pour le vérifier…
Le nuisible qui a occupé mes premières années professionnelles va nous occuper encore longtemps. Il s’agit du moustique ! Après des études dans l’environnement (BEP Entretien et Aménagement des Espaces Naturels et Ruraux et BTA Gestion Faune Sauvage), j’ai travaillé de 2011 à 2022 au sein de l’EID Atlantique (Entente interdépartementale pour la démoustication). Ensuite, j’ai rejoint l’unité de régulation des moustiques du Conseil général de la Vendée.
Par la suite, j’ai souhaité élargir mon champ d’intervention à d’autres nuisibles. Les métiers de la 3D (Dératisation, désinsectisation et désinfection) correspondaient à ce que je recherchais. Je voulais mettre à disposition mes compétences dans la 3D pour la gestion et la régulation des nuisibles. C’est un secteur passionnant. On est amené à enquêter pour définir à quelle espèce on a à faire. Nous devons également appréhender les problématiques et y trouver des solutions. Les espèces dites nuisibles m’ont toujours intéressé. L’autonomie et les perspectives d’évolution sont aussi des points importants pour lesquels j’ai souhaité intégrer LGH.
Quel est le quotidien ?
Notre métier s’appelle aussi technicien applicateur spécialisé dans la maîtrise de nuisibles. Il est très varié. Me concernant, je gère autant de l’administratif que des interventions sur le terrain. La partie administrative comprend plusieurs tâches nécessaires au bon déroulement d’une intervention :
- Planifier au mieux les rendez-vous
- Faire les devis
- Editer les factures
- Gérer les impayés 😒
Côté terrain, ce qui est enrichissant, c’est que j’interviens auprès d’une clientèle très variée. Que ce soit pour des collectivités, des professionnels dans le milieu agricole ou des particuliers, je rencontre des interlocuteurs très différents. Mon objectif lui ne varie pas : résoudre le problème de nuisance auquel ils peuvent être confrontés.
Ma méthodologie non plus ne varie pas. J’analyse le plus précisément possible la situation. C’est nécessaire pour grand nombre de contextes mais surtout dans notre métier de dératiseur à Nantes. J’évite toujours de foncer tête baissée. Ce temps d’analyse que je prends me permet également de sélectionner parmi mes connaissances ce qui est le plus pertinent et de mettre ainsi en application ce que l’on m’a appris.
C’est un métier prenant ?
Je dirais plus que c’est un métier captivant. Pour autant, il n’occupe pas tout mon temps ! 😉Originaire de Challans en Vendée, je suis l’heureux papa de deux enfants : Léo (bientôt 5 ans) et Alix (3 ans). J’adore passer du temps avec eux et les voir grandir. J’essaie de leur communiquer ma passion pour le sport. Grand supporter du FC Nantes, j’aime également pratiquer le palet, la pétanque, la belote, la chasse et la pêche.
Je savoure chaque instant que la vie m’offre. Entre les proches qui disparaissent à cause de maladies, l’augmentation du coût de la vie, la sécheresse… il faut garder à l’esprit que la vie est trop courte pour ne pas en profiter ! Alors, je profite un max !
Pour celles et ceux qui sont sur la région et qui ont besoin d’un désinsectiseur à Nantes, contactez-moi !