Si vous ne savez pas comment souscrire à un contrat de sanitation pour votre restaurant, le plus simple est de consulter un professionnel de la lutte contre les nuisibles à Bordeaux. Ce premier contact vous permettra de connaître tous les tenants et aboutissants d’un contrat nuisibles restaurant. En effet, vous apprendrez ainsi qu’il s’agit d’un outil qui rassemble toutes les procédures visant à contrôler les nuisibles. Même si ce suivi ne fait pas l’objet d’une obligation légale, il représente un outil solide pour respecter les règles d’hygiène qui concernent les entreprises du secteur des CHR (Cafés-hôtels-restaurants). Et ce, pour tous types de nuisibles.
Il vous garantit également une protection continue pour votre établissement.
Préparer la mise en place du contrat de sanitation
Afin de préparer la mise en place du contrat de sanitation, la première étape consiste souvent à prendre contact avec un dératiseur qui intervient à Bordeaux. Et ce, pour convenir d’un rendez-vous sur site. Ainsi, le professionnel va pouvoir effectuer une visite des lieux, riche en enseignements. En effet, grâce aux différents repérages qu’il va effectuer, il va pouvoir diagnostiquer d’éventuelles problématiques. Les points soulevés concernent essentiellement la présence de nuisibles dans les cuisines, les réserves ou dans la salle du restaurant. Par exemple, l’entreprise de dératisation peut localiser des traces de rongeurs ou des déjections de blattes. Il peut également apercevoir des mites alimentaires près des zones de stockage des denrées alimentaires.
Cette première rencontre est également l’occasion d’échanger sur des recommandations quant à différents points de vigilance. Ainsi, l’herméticité des lieux va faire l’objet d’un examen minutieux. Il est question lors de cette étape d’évaluer les risques d’intrusion de nuisibles. Aussi, la gestion des déchets fera partie des points critiques à aborder. En effet, les vide-ordures et les poubelles représentent de véritables garde-manger pour les rongeurs et pour certains insectes.
Ensuite, une fois l’inspection terminée, l’expert en dératisation et désinsectisation propose un devis et un plan de sanitation dans le respect de la méthode HACCP (Hazard analysis critical control point) et le PMS (Plan de maitrise sanitaire) en place. Ainsi, le restaurateur possède toutes les informations nécessaires pour envisager la suite. À savoir la mise en place du contrat de sanitation ou d’un contrat de dératisation. Ce suivi l’aidera à éloigner insectes et rongeurs.
Enfin, ce rendez-vous possède un autre avantage pour la réussite de la collaboration : il permet de faire connaissance avec le client. En effet, c’est grâce à ces échanges basés sur l’écoute que nous construisons ce partenariat qui se veut gagnant-gagnant.Et ce, d’autant plus qu’en tant que désinsectiseur et dératiseur en Gironde, nous maîtrisons les normes d’hygiène et les règlements sanitaires. Nous pouvons ainsi accompagner les responsables de restaurants collectifs dans leur lutte antiparasitaire et les conseiller.
Quelles sont les actions pour prévenir la présence de nuisibles dans un restaurant ?
La stratégie présentée au responsable de l’établissement précise quelles sont les actions pour prévenir la présence de nuisibles dans un restaurant. Ce sont ces mêmes actions que le dératiseur va mettre en place une fois le contrat validé. Cela se concrétise par l’installation des dispositifs de lutte anti nuisibles dans le cadre d’un Programme de gestion intégrée (IPM). Selon la stratégie adoptée, le choix va se porter sur des appâts placébos, des plaques glu ou des pièges mécaniques. En revanche, dans le cas des rongeurs, comme il s’agit ici d’une intervention préventive, nous n’allons pas proposer de rodonticides ou aucun autre produit chimique. En effet, il s’agirait alors d’appâtage permanent, ce qui est strictement interdit en France depuis 2018.
Cette décision de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a abouti à une modification de l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) de tous les appâts raticides contenant un antagoniste de la vitamine K, ou AVK. Par conséquent, les dératiseurs ne peuvent utiliser ces produits que lorsque les conclusions du diagnostic initial indiquent la présence de rongeurs. Et ce, pour deux raisons principales :
- Des espèces non ciblées peuvent s’empoisonner en consommant les appâts rodonticides
- Si les rongeurs ont accès en permanence aux appâts, cela peut contribuer à les rendre de plus en plus résistants
Ainsi, dans le cadre d’une opération préventive, les méthodes utilisées visent à repérer les rongeurs (appâts placébos consommés…) et à prévenir leur arrivée. Cela passe surtout par le colmatage des points d’entrée repérés lors du diagnostic. De façon globale, tous les produits utilisés, pièges ou autres dispositifs posés sont identifiés et cartographiés sur un plan.
Quels sont les traitements pour lutter contre les nuisibles dans le secteur des CHR ?
À la suite de cette première visite et de la validation d’un contrat annuel, le désinsectiseur propose au restaurateur un calendrier d’interventions sur un an. En les programmant à la convenance du client, nous nous assurons de ne pas gêner son activité. Lors de chaque intervention, le technicien hygiéniste effectue un contrôle en lien avec les conclusions de la visite précédente et en suivant l’IPM. S’il détecte la présence d’IPS (Insectes de produits stockés) ou de souris, il va déterminer quels sont les traitements pour lutter contre les nuisibles dans le secteur des CHR et éviter la prolifération des rongeurs et autres nuisibles.
S’il s’agit de rongeurs, il établit un plan de dératisation avec la mise en place de rodonticides. Ce qui permet souvent de s’en débarrasser au bout de 35 jours. Pour les IPS, le désinsectiseur va identifier par où ils ont pu pénétrer dans le restaurant. Une fois ces accès bouchés, il va installer des pièges à phéromones ou des DEIV (Destructeur électriques d’insectes volants). Enfin, s’il soupçonne la présence de blattes, il pourra proposer la mise en place de gel anti-cafards.
De façon générale, qu’il y ait détection de nuisibles ou pas, le technicien hygiéniste remet toujours un rapport au client après chaque intervention. Il peut également être amené à adapter l’IPM ou à mettre à jour la cartographie des pièges si nécessaire. Avec ce rapport, le responsable du restaurant détient toutes les informations nécessaires pour valider le respect des règles sanitaires. Le contrat nuisibles restaurant que nous proposons permet une véritable traçabilité des méthodes utilisées.
En conclusion, le contrat de sanitation permet aux professionnels des CHR d’assurer une surveillance sur mesure en lien avec la méthode HACCP et leur PMS. Si vous avez besoin de davantage d’informations, n’hésitez pas à faire appel à notre entreprise !